Catherine Nicolaï
Plasticienne

Plasticienne

La nature est source infinie de création et de consolation.

Présenter la nature à d’autres yeux comme je la ressens, est l’aventure que j’ai voulu tenter.  Autodidacte, j’ai découvert et découvre encore les sensations de l’encre, du trait, du fusain, du pastel.

Les arbres

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Les arbres sont les poumons de la terre et sans eux point d’échange d’eau entre le monde et nous. Ce sont les premiers êtres vivants que j’ai eu envie de représenter. Après avoir passé des heures à les regarder, les sentir, les écouter, l’envie m’est venue de transcrire leur port et leur écorce. L’expérience du métal et de la mise en trois dimensions a été un autre pas dans ma découverte des arbres.

Les paysages

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Les paysages sont venus des brumes qui dorment dans les vallons par ici. Comme de gros nuages posés sur l’herbe.
Le matin sur le chemin, quand j’allais ouvrir ma librairie, je pensais aux trajets que j’accomplissais avant, sur les quais de la Seine, chaque matin, dans les fumées des usines et des pots d’échappement. Le bonheur de ce nouveau monde, j’ai tenté de le déposer à l’encre sous forme de lavis. C’est une technique qui traduit bien le côté changeant et aléatoire des brumes et les fait paraître plus vivantes encore que les paysages.

Les vagues

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Après tant de temps à contempler les vagues, les images qu’elles créent à chaque instant, à la fois réalistes et abstraites, la couleur s’est imposée et l’envie de les coucher sur le papier. Les pastels secs que j’ai découverts il y a un an, leurs couleurs puissantes, leur matière si jouissive sous les doigts m’ont transportée. Ils s’accordent à la force et la douceur de l’eau en mouvement.

Théatre

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Confection  de costumes et d’accessoires pour une troupe de théâtre implantée à Belle-île : Les Chats-Hutants